Centenaire – 09/11 : Salon du livre journalisme et médias Journalivre

L’ESJ Lille présente le Journalivre, son 1er salon du livre journalisme et médias, le 9 novembre 2024.

Ce salon, ouvert au grand public, s’intéresse évidemment au domaine d’expertise de l’école centenaire, le journalisme, et plus largement à l’écriture de long format, fiction et non fiction.

Cette manifestation, en partenariat avec la Chouette librairie et les Lisières sera aussi l’occasion de promouvoir la sortie d’un livre édité par Flammarion : “Cent ans de journalisme à travers l’histoire de l’ESJ Lille” (sortie prévue fin octobre 2024).

Le Journalivre se tiendra le samedi 9 novembre 2024
à l’ESJ Lille au 50, rue Gauthier de Châtillon à Lille
de 10h à 18h, entrée gratuite

 

Programme :

• Ouverture des portes à 10h
• 10h15-11h30« Quand le journalisme prend le temps »Invitées :

  Elsa Fayner, journaliste et rédactrice en chef de la revue XXI

  Haydée Saberan, journaliste et rédactrice en chef adjointe de Kometa

  Marion Pillas, journaliste et co-fondatrice de La Déferlante

  Depuis vingt ans, les revues de non-fiction, journalisme au long cours, sont installées en librairies et dans les kiosques. Avec des reportages long format, enquêtes, récits journalistiques au format renouvelé qui laissent la part belle à l’image, les revues ont conquis un public lassé par le tourbillon de l’actu. 

  13h15 – 14h
  Coup de projecteur sur le Prix Albert-Londres
  Invités :

  Hervé Brusini, président du prix

  Michel Moutot, ancien lauréat et juré

  Le Prix Albert-Londres, qui récompense chaque année les meilleur(e)s «grands reporters» francophones, n’est pas encore tout à fait centenaire mais on s’en approche. Le Prix est né en 1932 à l’initiative de la fille du reporter, Florise Londres, et a été décerné pour la première fois en 1933. Hervé Brusini, président du Prix, entouré d’autres membres du jury dont Michel Moutot, grand reporter à l’AFP et lui-même lauréat, nous parlera des valeurs du Prix Albert-Londres, des lauréats, des critères d’attribution et du métier de reporter.

   

  14h-15h« Pourquoi les journalistes écrivent-ils de la fiction ? »

  Invité(e)s :

  Titiou Lecocq, autrice de Une époque en or, Le couple et l’argent et Les grandes oubliées

  Hugo Lindenberg, auteur de Un jour ce sera vide et La nuit imaginaire

  Michel Moutot, journaliste, auteur de Route One et Filles du ciel

  Fabrice Tassel, journaliste, auteur de On dirait des hommes et Les âmes frères

  Comment le journalisme influence-t-il l’écriture de fiction ? A quels défis fait-on face quand on passe de l’écriture journalistique à l’écriture romanesque ? Quatre auteurs avec des expériences de journalistes assez variées questionneront les compétences acquises dans leur métier et leur rapport à l’écriture.

  15h15-16h15

  « A qui appartiennent les histoires ? »

  Invité(e)s :

  Virginie Linhart, documentariste et autrice de L’effet maternel et Une sale affaire (Flammarion)

  Ariane Chemin, journaliste et autrice de Ne réveille pas les morts et A la recherche de Milan Kundera (Ed. du Sous-sol)

  Alexandre Duck, journaliste et auteur de  Avec toi je ne crains rien (Actes Sud)

  Mathieu Deslandes, journaliste et auteur de Tombé du ciel et Soir de fête (Grasset)

  Fiction, littérature du réel, récits journalistiques, les auteurs et autrices s’emparent des histoires. Les leurs, celles de leur famille ou encore d’anonymes. De quels droits ? Jusqu’où est-il moral de broder pour combler les interstices d’une réalité mal connue ? Et qu’en dit la justice, quand elle est saisie ?

  16h30-17h30

  “Crimes, justice et journalisme”

  Invité(e)s : 

  – Plana Radenovic, journaliste et autrice de Sambre, l’autre rive

  – Elise Costa, journaliste et autrice de Les nuits que l’on choisit

  – Violette Lazard, journaliste et autrice de Vendetta et Le Crépuscule de la Brise de mer

  – Vincent Vantighem, journaliste et auteur de Les défendre tous

  Affaires criminelles, grands procès, faits-divers, ces thématiques donnent de plus en plus lieu à des longs formats journalistiques, des livres voire des séries télévisées. Pourquoi un tel engouement du public pour ces histoires tirées de faits réels ? Comment et pourquoi les journalistes s’intéressent-ils à ces enquêtes ? Les nouveaux formats journalistiques (réseaux sociaux, podcasts, chaînes d’info en continu) ont-ils changé notre approche des affaires dites de police-justice ?

• Espaces sur des thématiques et pôles spécifiques.

Avec le soutien de la ville de Lille et le la DRAC des Hauts-de-France.